Mieux être par la lecture : du côté de la théorie lacanienne

 

Présentation d’une approche réflexive et critique de la théorie lacanienne

 

Le temps pour apprendre.

Il est un temps pour apprendre et chercher via la lecture à se donner un arsenal conceptuel solide qui vous permette d’assurer une clinique fiable, à savoir cohérente, malgré les remises en cause que le symptôme lui inflige d’ailleurs fort heureusement puisqu’il l’empêche de se figer.

Ce temps de recherche théorique ne s’achève jamais vraiment. En effet, la curiosité est d’abord inspirée par le manque et celui-ci, loin de parvenir à se réguler, de réussir à s’estomper pour la satisfaire, ne cesse de la piquer au vif et de la relancer plus avant. Quête du savoir, manque, relance de la volonté de connaître dessinent la spirale du bon vivant intellectuel.

On n’en a jamais fini avec le désir de savoir lorsqu’on a devant soi un domaine théorique promulgué par Freud et ses contemporains et ensuite prolongé, complété, approfondi, adapté… par leurs continuateurs, ouvert aujourd’hui à des champs d’études nouveaux et des orientations sociétales modernes et s’y enrichissant pour tenter de mieux soulager l’inépuisable source de la souffrance psychique humaine qui ne cesse de se nuancer et d’évoluer comme tout ce qui touche l’humaine condition. Pour cela, d’entrée de jeu, Freud conseillait à ses élèves d’être le plus cultivé possible et sur de vastes registres allant des « sciences de l’esprit, la psychologie, l’histoire de la civilisation, la sociologie » autant qu’à « l’anatomie, la biologie et l’histoire de l’évolution ». Il estimait qu’il y avait là, certes un idéal, mais un « idéal que l’on peut réaliser et qu’il faut réaliser » [1]. Ce conseil, toujours d’actualité, ne risque pas à l’heure de la mondialisation de perdre de sa valeur. Bien au contraire ! Mais, alors que sur Internet toute information semble fantasmatiquement accessible sans même avoir fait la démarche et l’effort de la rechercher, peut-être cet idéal est-il paradoxalement plus difficile à réaliser noyés que nous sommes dans un océan culturel qui impose la nécessité du recul, la capacité d’organisation et l’obligation du refus mettant en exergue une qualité devenue particulièrement précieuse : l’aptitude au choix.

La découverte de Jacques Lacan grâce à l’enseignement de Joël Dor.

Au-delà de l’œuvre freudienne, prise dans la logique réflexive des avancées contemporaines françaises alors foisonnantes, je fus introduite dans les années quatre-vingts à la théorie lacanienne par Joël Dor. Il fut d’abord mon « enseignant » à l’Université Paris-VII – Denis-Diderot.

Il n’est pas possible d’écrire mon « professeur », car il n’avait pas ce titre universitaire officiel. Dans le cadre du diplôme de psychologie clinique, il n’était alors que chargé d’un cours de psychanalyse qui enthousiasmait par sa clarté les amphithéâtres de Jussieu et rendait trop petites les salles de Censier… Il donnait à ses étudiants l’espoir d’être intelligents. À l’écoute de son discours, empreint de grandes qualités pédagogiques et d’une lumineuse clarté, son auditoire avait enfin l’impression de comprendre la pensée lacanienne jusque-là appréhendée et projetée comme étant impénétrable.

Il n’est pas non plus pertinent d’évoquer Joël Dor comme étant mon « maître » car la maîtrise n’était pas une visée à laquelle ce psychanalyste, sensible aux aléas imprévisibles des retours du refoulé de l’inconscient, prétendait le moins du monde. Sans illusions, à la suite de Lacan, il ironisait souvent sur ce qu’il en est du semblant du « discours du maître »…

Joël Dor fut, avant tout, pour moi un fidèle ami que le temps et le partage des joies comme des difficultés de la vie m’ont rendu de plus en plus cher. Il m’a beaucoup transmis et notamment sa rigoureuse éthique. Il m’a introduite dans l’intelligentsia psychanalytique. Avec lui, j’ai ardemment travaillé pendant vingt ans à la création, l’élaboration et la promotion de deux revues de psychanalyse : d’abord Esquisses psychanalytiques, la revue du CFRP [2] puis, une fois cette institution dissoute : Logos ◊ Anankè dans le cadre de l’association Espace Analytique.

Seule la mort prématurée de Joël Dor interrompit brusquement cette chaleureuse et passionnante collaboration.

Le choix d’un arsenal conceptuel inspirant puis donnant cohérence à la clinique.

La lecture et la relecture de l’immense analyste qu’était Jacques Lacan m’a permis de me tisser un vaste réseau conceptuel à ma convenance intellectuelle parce que, jamais complètement élucidé, donc toujours susceptible d’être remanié, retravaillé comme exporté. Lacan n’a-t-il pas donné l’exemple d’une façon de faire singulière puisque c’est en interrogeant l’œuvre de Freud qu’il s’est autorisé à inventer sa propre intellection ? Tout le monde n’a pas cette aptitude d’abstraction mais c’est là une direction possiblement applicable dans la vie professionnelle d’un psychologue clinicien ou d’un psychanalyste, un modèle qui l’autorise peut-être à s’accorder d’instrumentaliser une théorie bien comprise aux convenances subjectives de sa clinique.

Ce foisonnement d’idées, alimenté par une vaste culture philosophico-médicale, inspirée par un structuralisme paradoxalement aussi rigoureux que poétique, doublé d’une musique signifiante particulière à son style baroque et avant tout soutenu par une éthique exigeante du désir devant lequel un professionnel de la psyché ne doit jamais céder sauf à se trahir lui-même[3] me permit à la fois d’approfondir mes réflexions théoriques comme, au registre clinique, d’exercer mon oreille à se rendre sensible à la polyphonie des signifiants aux dépens des signifiés ordinaires pour que puissent surgir des effets de sens subjectivants. Il ne faut jamais oublier que Lacan était, avant tout, un diseur et que ses écrits étaient le plus souvent des séminaires ou des conférences parfois retravaillés en vue de la publication.

Lacan approfondit en quelque sorte son analyse, inaugurée sur le divan de Rudolph Loewenstein, en prononçant son séminaire, donc tout au long de sa vie. Un peu de la même façon, davantage que l’expérience de la cure, c’est peut-être la lecture approfondie du « dire de Lacan » qui permit à mon oreille de s’affûter, de s’aiguiser, de s’affiner ; c’est ainsi qu’elle devint peu à peu l’instrument délicat de la sensitive musicienne de la psyché qu’elle m’a permis de devenir… Ma thèse [4] témoigne de cette sensation que lire c’est déjà écouter. Lentement échafaudée au Laboratoire de Psychopathologie fondamentale et Psychanalyse de l’Université Paris-VII – Denis-Diderot, sous la direction de Pierre Fédida, comme tentative d’élucidation de ce Un insaisissable car indéterminé, toujours manquant bien que partout, à savoir, au moins lorsqu’il est incarné dans la langue désirante (que Lacan écrit « lalangue »), « quelque chose qui reste indécis entre le phonème, le mot, la phrase, voire toute la pensée »[5], le style de cette recherche, inspiré par l’insistance dont l’inconscient fait preuve, ne put que s’exprimer sur le mode de tours, détours, retours en volutes hyperboliques…

Le désir d’apporter un outil de travail (index) et de transmettre les éclaircissements d’une réflexion exigeante (articles).

Rien de mieux pour apprendre que de formuler et d’organiser son discours donc d’une part d’enseigner à travers une transmission orale — soit lors de conférences ou de cours comme j’ai pu le faire, malheureusement trop brièvement, auprès d’infirmières dans le cadre d’un IFSI[6] du XIVe arrondissement de Paris ou auprès d’étudiants de Master professionnel (alors appelé DESS), à l’Université catholique d’Angers — et/ou d’autre part d’offrir sa parcelle de réflexion via une transmission écrite permettant aux lecteurs d’avancer sur un chemin un peu mieux défriché et de lui offrir l’opportunité d’imaginer à son tour des perspectives où son esprit se questionne et se vivifie.

Recevoir, d’abord une nécessité, apporte bientôt une jouissance qu’on est tenté de prolonger ; mais s’en satisfaire ne va pas sans culpabilité. En retour, le désir de donner tenaille. C’est en quoi mes publications ont pour leurs lecteurs deux visées qui peuvent être complémentaires :

  • Ou bien ce sont des instruments purement techniques qui lui font gagner du temps tel les « index conceptuels » transversaux qui parcourent toute l’œuvre de Lacan (Réel, Destin, Inconscient, Psychose, Psychotique, Hystérie, Schizophrénie, Temps, Stade du Miroir, Nom-du-Père, Pensée, Argent, Lalangue) ou l’indexation d’articles (« Le mythe individuel du névrosé », « La troisième », etc.), d’ouvrages (Les complexe familiaux), de séminaires (La relation d’objet, Encore)
  • Ou bien, suite à mes plongements insatiables dans le foisonnement théorique du discours psychanalytique lacanien, ce sont des articles de fond qui tentent d’éclaircir la compréhension de certaines notions difficiles (comme les questions de l’objet petit a dans la névrose obsessionnelle, les problématiques du temps, du Un, de l’amour, etc.) et de rendre plus accessibles leurs évolutions sémantiques.

La liste ci-jointe de mes publications, classées par ordre chronologique, fait preuve de cette préoccupation biface dont les deux visages en miroir s’intriquent et se valorisent l’un l’autre.

Liste des publications

  • « Une main ouverte à la transmission du Onz’en Poche », dans Esquisses psychanalytiques, n° 15, Jacques Lacan, printemps 1991, p. 31-36.
  • « Le “cristal” de lalangue. Index des créations de sens de la cuvée 1991. Télévision », dans Le Curieux, n° 12, 1991, p. 49-65.
  • « Le “cristal” de lalangue. Index des créations de sens de la cuvée 1991. L’envers de la psychanalyse », dans Le Curieux, n° 13/14, 1992, p. 70-103.
  • « Le “cristal” de lalangue. Index des créations de sens de la cuvée 1991. Radiophonie », dans Le Curieux, n° 13/14, 1992, p. 103-117.
  • Entretien avec Alain Didier-Weill : « Temps fini, temps indéfini, temps infini : L’heure du thé chez les Pendlebury », dans Esquisses psychanalytiques, n° Hors Série II, Psychanalyse et théâtre, septembre 1992, p. 91-102.
  • « L’objet a maternel : la consistance mortifère obsessionnelle », dans Esquisses psychanalytiques, n° 20, La névrose obsessionnelle et sa clinique, mars 1994, p. 83-103.
  • « La relation d’objet. Premiers index du séminaire IV (1956-1957) », dans Esquisses psychanalytiques, n° 21, Clinique des phobies, septembre 1994, p. 153-223.
  • « La relation d’objet. Index terminologique du séminaire IV (1956-1957) », dans Esquisses psychanalytiques, n° 22, Psychanalyse latino-américaine : perspectives, mai 1995, p. 131-339.
  • « Préface » à l’ouvrage d’Ignacio Gárate-Martínez, L’institution autrement. Pour une clinique du travail social, Paris, Gemme éditions, 1996, p. 7-17.
  • En collaboration avec Joël Dor, « Préface », à l’ouvrage d’Ignacio Gárate-Martínez et José Miguel Marinas, Lacan en Castellano, Tránsito razonado por algunas voces, Barcelona, Quipú Ediciones, 1996, p. XI-XXXI). Reprise dans l’ouvrage des mêmes auteurs, Lacan en espagnol [Brevario de Lectura], Biblioteca nueva, 2003, p. 17-37.
  • « Index : “Le mythe individuel du névrosé” de Jacques Lacan », dans Essaim, n° 2, Incidences cliniques, Érès, automne 1998, p. 153-183.
  • « “La Troisième” de Jacques Lacan : paroles inspirées dans l’arène italique », dans Essaim, n° 3, Dépossessions subjectives, Érès, 1999, p. 131-146.
  • « Index : “La troisième” de Jacques Lacan », dans Essaim, n° 4, Nouvelles formes de résistance à l’analyse profane, Érès, automne 1999, p. 147-180.
  • « Index des occurrences Logos et Anankè chez Freud et Lacan », dans Logos ◊ Anankè, n° 1, La différence sexuelle, 1999, p. 15-25.
  • « Indexation non exhaustive du mot “Réel” dans l’œuvre de Jacques Lacan », dans Ginette Michaud, Figures du Réel. Clinique psychanalytique des psychoses, Paris, Denoël, coll. « L’Espace analytique », 1999, p. 345-373.
  • « Index des occurrences : destin, destinée, inconscient dans l’œuvre de Lacan », dans Logos ◊ Anankè, n° 2/3, Inconscient et destin, 1999-2000, p. 328-436.
  • « Index des structures psychiques dans l’œuvre de Jacques Lacan : psychose », dans Institutions, n° 27, Potentialités soignantes, septembre 2000, p. 119-147.
  • « Présentation de l’article de Joël Dor : “La malédiction de l’aïeule : un destin du symbolique” », dans Logos ◊ Anankè, n° 2/3, Inconscient et destin, 2000, p. 11-13.
  • En collaboration avec Alain Didier-Weill, « Dialogue autour d’Invocations », dans Logos ◊ Anankè, n° 2/3, Inconscient et destin, 2000, p. 205-225.
  • « Index de l’hystérie et du monde signifiant qui lui fait cortège dans l’œuvre de Jacques Lacan », dans Actualité de l’hystérie, Monographies de clinique psychanalytique sous la direction d’André Michels, Ramonville-Saint-Agne, Érès, 2001, p. 345-392.
  • Lacan – L’index. Encore. Séminaire XX (1972-1973), Paris, L’Harmattan, juin 2001.
  • « Index des structures psychiques dans l’œuvre de Jacques Lacan : psychotique et le monde signifiant qui lui fait cortège », dans Institutions, n° 29, septembre 2001, Le travail, p. 85-110.
  • « Index des structures psychiques dans l’œuvre de Jacques Lacan : schizophrénie et le monde signifiant qui lui fait cortège », dans Institutions, n° 30, Les frontières, mars 2002, p. 93-107.
  • « Prélude réflexif à l’index. Le temps du parlêtre conjugué au futur antérieur de l’Autre », dans Fondations subjectives du temps, sous la direction d’Auguste Morille et de Patrick Martin-Mattéra, Paris, L’Harmattan, juin 2002, p. 189-220.
  • « Esquisse d’un index du temps chez Lacan et de quelques signifiants compagnons », dans Fondations subjectives du temps, sous la direction d’Auguste Morille et de Patrick Martin-Mattéra, Paris, L’Harmattan, juin 2002, p. 221-287.
  • Lacan – L’index. Les complexes familiaux. 1938, Paris, L’Harmattan, octobre 2002.
  • « Index raisonné de l’occurrence : stade du miroir dans l’œuvre de Jacques Lacan », dans Che vuoi ?, n° 18, Sublimer ? 1. La pulsion et l’acte, L’Harmattan, 2002, p. 167-191.
  • « Françoise Bétourné. Lacan – L’index. Les complexes familiaux. 1938, Paris, L’Harmattan, 2002 », dans le « Cabinet de lectures » des Cahiers pour une école, n° 8, Freud contre le nazisme, p. 117-131.
  • « Index raisonné de l’occurrence : Nom-du-Père et de ses signifiants compagnons dans l’œuvre de Jacques Lacan », dans Che vuoi ?, n° 20, L’Harmattan, 2003, p. 251-278.
  • L’insistance des retours du Un chez Jacques Lacan (thèse de doctorat de 3e cycle, soutenue le 23 février 2000, Laboratoire de psychopathologie fondamentale et psychanalyse, Université Paris-VII – Denis-Diderot), Lille, Atelier National de Reproduction des Thèses, « Thèse à la carte », 2003 (3 volumes, 1257 pages sans les annexes).
  • « L’amour est toujours réciproque dans la sphère d’aimance », dans Cliniques méditerranéennes, n° 69, Passion, Amour, Transfert, Érès, 2004, p. 87-115.
  • « Index des occurrences pensée, penser et de quelques signifiants compagnons dans l’œuvre de Lacan de 1926 à 1966 », dans Fondations subjectives de la pensée, ouvrage collectif établi sous la direction de Claude Savinaud, Paris, L’Harmattan, 2004, p. 267-357.
  • « Index de l’argent et d’autres signifiants librement associés dans l’œuvre de Lacan », dans Che vuoi ?, n° 24, De l’argent, L’Harmattan, 2005, p. 227-278.
  • « Index de la création de sens : lalangue, dans l’œuvre de Jacques Lacan », dans Che vuoi ?, n° 26, La langue intime, L’Harmattan, 2006, p. 233-239.

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[1]< Sigmund Freud, « Postface » (1927) à La question de l’analyse profane (1926), Paris, Gallimard, coll. « Connaissance de l’inconscient », 1985, p. 143-144.
[2] Centre de Formation et de Recherches Psychanalytiques
[3] Jacques Lacan a évoqué la psychanalyse comme étant la « science du désir » (voir L’éthique de la psychanalyse Livre VII (1959-1960), Paris, Seuil, coll. « Le champ freudien », 1986, séminaire du 6 juillet 1960, p. 373, 374) et il a mis en exergue de l’éthique analytique le devoir de ne pas « céder >sur son désir » (voir ibid.), séminaire du 6 juillet 1960, p. 368 et 370, souligné par moi). Au-delà de ne pas « céder à son désir » donc de ne pas assouvir une satisfaction immédiate pour permettre à une autre plus lointaine et plus profonde d’avoir des chances de l’être, qui est la signification freudienne lorsque l’inventeur de la psychanalyse écrit « il est interdit à l’analyste de céder » (dans « Observations sur l’amour de transfert » (1915), dans La technique psychanalytique, Paris, PUF, 1953, p. 129 (souligné par moi)), Lacan épingle l’impératif de ne jamais reculer devant ses responsabilités, de ne rien rabattre de sa position de clinicien donc de ne pas céder sur son désir que l’élan vital de son patient triomphe dans le combat qu’il livre contre l’instinct de mort. Il s’avère qu’en psychogérontologie cet impératif demande une énergie titanesque et un amour fou de la vie. Mais ils sont indispensables car, en définitive, à l’extrême, à quoi se résume l’offre du psychologue clinicien à son patient ? Via la relation transférentielle à la possibilité d’une identification donc de l’éprouvé du sentiment le plus inaugural qui soit puisque Freud la définit comme étant « l’expression première d’un lien affectif à une autre personne » (voir le chapitre VII : « L’identification », de « Psychologie des foules et Analyse du Moi », dans Essais de Psychanalyse (1921), Paris, Payot, coll. « PBP », n° 44, 1984, p. 167). Et pour répondre encore plus précisément à cette interrogation majeure, le clinicien donne à son patient l’opportunité d’une identification au signifiant du principe de son pur désir donc de son manque.
[4] Voir infra, des références plus précises dans la liste des publications.
[5] Jacques Lacan, Encore, Livre XX (1972-1973), Paris, Seuil, coll. « Le champ freudien », 1975, séminaire du 26 juin 1973, p. 131.
[6] Institut de Formation en Soins Infirmiers.

Du côté de la théorie lacanienne

Présentation d'une approche réflexive et critique de la théorie lacanienne

Du côté de la clinique gérontologique

De quelques réflexions sur le bien-fondé du transfert de concepts analytiques en psychogérontologie

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